LE BUREAU DE MA BULLE

A votre écoute

Je vis à Divonne-les-Bains, dans le Pays de Gex. Le cancer me touche depuis 30 ans : j'accompagne ma mère dans son combat contre le cancer du sein depuis octobre 2020. Et malheureusement, cette maladie a aussi emporté ma meilleure amie en 1992 et mon conjoint en 2008.
Aujourd'hui, je ne peux me résoudre à accepter comme une fatalité le manque cruel de structures publiques pour accueillir et soutenir les malades du cancer sur mon territoire, aussi ai-je décidé de transformer colère et déception en énergie positive et créatrice.
Anne-Valérie Sédille
Fondatrice
Octobre avec Ma Bulle Rose
J'ai eu un cancer du sein il y a 10 ans, j'avais alors 37 ans, 2 petites filles et je vivais en région parisienne. L'épreuve a été difficile, mais ce qui a beaucoup contribué à "me sauver la vie", c'est le fait de ne jamais me sentir seule, de rencontrer d'autres patients, des bénévoles d'associations, de gens qui se sentent investis dans notre bien-être au quotidien, de PARTAGER.
Lorsque nous sommes venus nous installer dans le Pays de Gex, j'ai cherché à retrouver cet environnement, et... je n'ai rien trouvé ! Ma Bulle Rose vient combler ce vide auprès des patients et de leurs aidants, et c'est juste indispensable !
Mathilde Marande
J’ai souhaité adhérer à Ma Bulle Rose pour donner un sens à ma maladie survenue en septembre 2020 et apporter ma contribution avec ma propre histoire.
C’est tellement important de pouvoir trouver une porte ouverte pendant ces longs mois, obtenir un soutien avec Ma Bulle Rose est une bulle d’oxygène pour les malades et les aidants.
Chantal Chandelle
Je suis slovaque et j'habite avec ma famille dans le Pays de Gex depuis 2004. J'ai perdu une amie très proche dû à ce fléau et je soutiens d'autres amis dans leurs Combats difficile contre le cancer. Mon expérience de vie m'a montré que la solidarité, la volonté et la capacité de s'entraider sont essentielles dans le quotidien. Je crois que soutenir la communauté localement est la meilleure façon de contribuer à la chaîne de solidarité.
Sasha Broadhurst-Petrovicka
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